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Jour de solidarité : une (ou deux ?) fois par an

13 mai 2021
Jour de solidarité : une (ou deux ?) fois par an

Petite question du jour :

Une entreprise décide en 2021 de maintenir le jour de solidarité le lundi de Pentecôte.

Un salarié, nouveau venu dans l'entreprise, lui rappelle qu'il a déjà effectué en 2021 sa journée de solidarité chez son ancien employeur.

Peut-il être dispensé de travailler le lundi de Pentecôte ?

La bonne réponse est... Oui

Lorsqu’un salarié a déjà accompli, au titre de l’année en cours, une journée de solidarité, il peut refuser de l’effectuer de nouveau, sans que ce refus constitue une faute ou un motif de licenciement.

Attention, s’il accepte de venir travailler : les heures travaillées ce jour sont considérées comme des heures supplémentaires (ou complémentaires en cas de travail à temps partiel), qui donneront lieu, à ce titre, à une rémunération supplémentaire ou à une contrepartie obligatoire sous forme de repos.

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